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Sur une Terre post-apocalyptique et son hiver nucléaire, le Transperceneige du milliardaire Zheng est un train gigantesque qui roule sans cesse grâce à une technologie de pointe. Les classes laborieuses sont entassées en queue de train et travaillent pour le reste des occupants. Proloff, le personnage principal de cette bande-dessinée va réussir à sortir de ce wagon et avec une journaliste va organiser une révolte. On retrouve tous les codes du post-apocalyptique à savoir : un cataclysme, un groupe de survivants, un endroit confiné et une remise en question de la hiérarchie.
Une œuvre majeure de la bande-dessinée de science-fiction dont découleront une suite en bd, un film et une série télévisée.
Dans le grand Nord, un trappeur solitaire essaye de survivre dans ce désert de neige , de glace, de froid mordant. Atmosphère d'un froid intense dans cette bande dessinée. On peut très bien occulter le texte , les illustrations suffissent largement pour traduire ce froid insoutenable.
Qu'est-ce qui relie un îlot maudit d'Islande à Robespierre. C'est ce que le commissaire Adamsberg va devoir trouver avec quelques cadavres sur les bras. Il faudra qu'il démêle une très grosse pelote d'algues avec l'aide d'une équipe de choc, singulière et parfois rétive et celle d'un sanglier prénommé Marc. Lecture facile et récit pour le moins inattendu comme quoi la grande histoire peut inspirer des romans policiers surprenants
Sept nouvelles à l'humour plus ou moins noir sur la banquise du Groenland.
On retrouve les mêmes personnages d'une nouvelle à l'autre. C'est plaisant à lire.
Ce n'est pas un remake de la croisière s'amuse quoique l'humour ne manque pas dans ce roman. C'est une croisière très chère, une dizaine de passagers pour un équipage du même nombre embarqués sur un navire polaire à destination du Svalbard, dans l'Arctique. Parmi les passagers il y a Bea, une jeune norvégienne qui se teint les cheveux en noir et
qui consomme beaucoup d'alcool ; vraiment beaucoup mais ça ne l'empêchera pas de monter au nid de corbeau. C'est qu'elle a des comptes à régler avec son passé Bea et en plus elle veut sauver la peau de l'ours blanc. Mais qui est l'ours? L'écriture est vive et joyeuse mais ne vous y fiez pas, les sujets abordés sont graves. La première scène concernant la veille femelle phoque est un remarquable prologue.
’ai ressenti pas mal d’émotions à cette lecture. J’évite en général les histoires concernant l’enfance, l’adolescence, les histoires sur la drogue et les récits à la première personne. Mais là j ai lu le livre d’une traite. Je suis admirative de cet auteur que je ne connaissais pas. Cet auteur a réussi à conter une histoire dramatique brève se déroulant dans un grand froid et pleine d’espoir avec une écriture très douce et fluide. Un exploit et un bijou précieux.
Attirée par la couleur particulière de cette couverture j’ai découvert un beau roman plein de poésie. Certes, il faut être en forme pour s’attaquer à cette lecture mais une fois commencée on a envie d’en savoir plus et on se laisse transporter aux cotés de ces deux femmes, mère et fille, en plein deuil, qui vivent dans une cabane isolée et y passent l’hiver. Un réflexion, une lente reconstruction au contact de la nature.
Un roman qui résonne avec le confinement que nous vivons tous aujourd'hui ! mais là nos héros sont bloqués... par la neige !
Piégés pendant de longs mois durant lesquels la vie quotidienne devient très difficile, stress, atmosphère lourde, angoisse…
Une vie hors du temps où les relations humaines sont mises à mal…
Il y a des livres où le titre seul vous engage à les lire. Les buveurs de lumière appartient à cette catégorie. Comment ne pas se demander qui sont ces buveurs de lumière, et comment boit-on la lumière. Ils se cachent profondément dans les plis du récit, dans une communauté d'êtres très singuliers qui vivent dans un parc de caravanes aux confins de l’Écosse, à l'aube d'un nouvel âge glaciaire maintenant. Parmi ces êtres il y a une adolescente, Stella, étoile filante qui veut vivre et suivre son chemin coûte que coûte.
En Arctique, en pleine nuit, la banquise se fracture, une jeune femme inuit est séparée de sa famille.
Elle est livrée à elle-même dans le froid, elle marche, avance dans des conditions extrêmes… seule elle s'organise pour survivre.
Vladimir travailleur clandestin redécouvre le sens de la vie aux côtés d'Alice. Histoire d'amour impossible dans un milieu paysan sans concession… Un roman plein de poésie où la nature est sublimée !
Reculas, le nom sonne grave comme une pierre dure de montagne. Ce livre c'est beaucoup plus que la vie d'un hameau de montagne en hiver dans un temps aujourd'hui disparu. Ces hameaux devenus murs désossés, poutres effondrées, fenêtres et portes mangées par la végétation, cheminées mortes, que seule la marche peut vous faire rencontrer. Il ne s'agit pas de remonter le temps, ni de parler d'histoire et de géographie, ce n'est pas un livre ethnographique sur la culture paysanne dans les Basses Alpes. Les Reculas, c'est la Montagne, l'Hiver, la Femme, l'Homme, c'est un conte de fée, le conte merveilleux qui vit toujours.
Récit douloureux, sorte de quête menée par Stan, paléontologue de son métier, afin de trouver le squelette d'un dinosaure qui devrait lui donner la célébrité tant attendue. Plus le héros creuse le glacier plus il remonte les méandres de son passé, enfance torturée, enfant incompris, regrets...
Nous sommes tenus en haleine et rêvons aussi à cette incroyable découverte pour laquelle on donnerait sa vie …
En 1505, Michelangelo quitte Rome après avoir découvert le corps inerte d'Andrea, un jeune moine qui le fascinait. Il part pour Carrare choisir des marbres pour un tombeau commandé par le pape Jules II. Le soir, il lit un ouvrage de Pétrarque et la Bible d'Andrea, ne cessant de s'interroger sur les raisons de sa mort. Le jour, il croise les tailleurs de pierre.
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